• Nous savons vu dans le premier billet consacré à la maison familiale de Saint Pierre de Bœuf qu’elle était occupée par les deux familles fondées par les enfants de Paul Jean Félix Bonneton. A gauche lorsqu’on regarde la maison depuis la rue, logeait la famille de Marcel, l’ainé des enfants de Paul, avec son épouse Germaine Merle et leurs deux enfants Michel et Daniel. A droite, vivaient donc Jojo, son épouse Fernande, que selon son état civil, on aurait plutôt du appeler Louise, et leurs trois enfants Mireille, Guy et Jean Paul.

    Marcel et Jojo avaient respectivement dix huit et dix sept ans au début de la seconde guerre mondiale. Ils furent tout d’abord embrigadés dans les chantiers de la jeunesse, organisation mise en place par le gouvernement de Pétain pour se substituer au service militaire, supprimé par l’occupant allemand. Ces chantiers de jeunesse étaient inspirés du scoutisme, le volontariat en moins. Jojo ne parlait pas volontiers de cet épisode de sa vie et nous n’avons malheureusement pas suffisamment insisté pour recueillir ses souvenirs. Les rares évocations dont je me souviens sont tout sauf des souvenirs de camps de vacances. Lutte pour le ravitaillement, incluant de longs périples à vélo pour visiter des fermes et se procurer des victuailles, vie fruste et idéologie d’un autre âge prônant le retour à la terre et culte du maréchal Pétain, père et sauveur de la nation.

    Lorsque le troisième Reich, manquant de main d’œuvre, a exigé des pays occupés qu’ils fournissent une main d’œuvre à bon compte pour remplacer les ouvriers et fermiers allemands partis au front, de nombreux jeunes des chantiers de jeunesse ont du partir outre Rhin. Le dispositif portant le nom de STO, pour service travail obligatoire, fut présenté par la propagande vichyssoise comme un moyen de relever et faire revenir en France les prisonniers de guerre français détenus en Allemagne.

    La maison familiale de Saint Pierre de Bœuf (2) enfance d'après guerre

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Il s’agissait bel et bien en fait de répondre à la demande de main d’œuvre formulée par les autorités allemandes. De nombreux prisonniers étaient d’ailleurs déjà forcés au travail dans l’industrie de guerre sur le sol allemand. Si certains jeunes refusèrent cette réquisition et rentrèrent dans la clandestinité pour rejoindre la résistance, Marcel et Jojo partirent pour l’Allemagne et ne revinrent en France qu’à la fin de la guerre. Comme pour les chantiers de jeunesse Jojo ne nous a jamais donné beaucoup de détails sur cette période. Les courriers échangés ont été perdus. Seule, parmi les photos familiales, le portrait d’une jeune allemande étonne. Jojo travaillait dans une ferme donc  sans doute moins surveillé que dans une usine. S’agit-il d’une idylle ? Le fait n’aurait rien d’anodin car les autorités allemandes réprimaient sévèrement tout contact avec la population non justifié par le travail. Les relations sexuelles étaient même passibles de la peine de mort. Nous ne sauront de toute façon jamais quelle place a occupée cette jeune fille dans la vie de Jojo. Un travail sur les archives des STO nous permettrait peut être tout au plus de mettre quelques dates et lieux sur ces années. Une tâche de plus à mettre au programme de nos recherches !

     A leur retour en France, les deux frères ne tardèrent pas à se marier. Les deux couples sont installés dans la maison de Saint Pierre de Bœuf mais tous les enfants naitront à la maternité de l’hôpital de Condrieu.  Même si saint Pierre de Bœuf, tout comme Gencenas ou Malleval, les villages d’origine de leurs épouses, ont été épargnés par les bombardements alliés, le pays est à reconstruire et le travail ne manque pas. Marcel et Jojo sont engagés comme soudeurs. Jojo travaille aux Roches de Condrieu dans l’usine chimique de Progil. Il se rend tous les jours au travail depuis Saint Pierre de Bœuf en vélo d’abord puis en mobylette.

    La vie dans le foyer de Jojo et Fernande s’organise la journée dans la grande pièce du rez de chaussée qui donne directement sur la rue. Cette pièce sert de cuisine avec son évier, seul point d’eau – froide- de la maison, son poêle, seul chauffage de la maison, et de salle à manger avec la grande table, œuvre du père de Jojo, ou de son grand père puisqu’ils furent tous deux menuisiers. Au fond de cette pièce un couloir desserts deux escaliers. Le premier monte vers l’étage et le second vers la petite cour. Dans la cour se trouve la fosse d’aisance, car le tout à l’égout n’est pas encore été installé dans la commune. Périodiquement un camion pompe vient vidanger les fosses des maisons du quartier et nous nous enfuyons le plus loin possible car l’odeur qui se dégage pendant cette opération est épouvantable. De la cour on accède aussi à la cave où sont conservés les aliments frais car le réfrigérateur ne fera son apparition que bien plus tard. D’ailleurs, l’électricité dans la maison sert exclusivement à l’éclairage. L’appareil dont l’arrivée dans les foyers, quelques années plus tard, a le plus soulagé les ménagères est sans doute la machine à laver. Dans les années cinquante, la lessive est une véritable corvée, le linge est porté à l’ébullition dans la lessiveuse, puis frotté sur la planche à laver, rincé à l’eau claire puis essoré par torsion et enfin étendu, sur un fil au jardin. Cette opération se répète chaque semaine et le volume de linge est considérable, les couches jetables n’existent pas et les enfants portent des langes qu’il faut maintenir propres. Il n’y a bien sûr pas de télévision ni même de radio. L’information sur la vie du pays et du monde arrive dans la maison par les Allobroges, journal créé en 1942 par la résistance communiste puis devenu quotidien à la libération dont le nom n’a pas été choisi au hasard puis qu’il est celui de la peuplade gauloise, réputée rebelle, qui occupait depuis l’antiquité la prospère région s’étendant de Vienne à la frontière suisse. Ce journal disparaîtra en 1958 et sera remplacé dans les foyers de ses lecteurs par le Progrès ou le Dauphiné, certes libéré mais bien moins libre.

    la photo ci-dessous est prise devant la maison. De gauche à droite, on voit Jeanne Joséphine, Jojo et, sans doute Marie Françoise, une sœur du grand père de Jojo, veuve d'un marinier, Jean Hippolyte Giroux qui décédera en 1943 et est enterrée, avec son époux dans le caveau familial. On distingue à l’intérieur l'évier.

    La maison familiale de Saint Pierre de Bœuf (2) enfance d'après guerre

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Il y a deux chambres à l’étage de la maison. La première, assez vaste, accueille le lit conjugal et, sur trois cotés, de petits lits cages dans lesquels dorment les enfants. La deuxième chambre, minuscule est réservée à Jeanne, la grand-mère qui vit avec nous. L’organisation de la maison de la famille de Marcel est à peu près identique. La maison est un peu plus vaste puisqu’elle n’est pas amputée par la cour, mais on y est guère plus à l’aise car la chambre réservée à la tante Marie Louise occupe inutilement un précieux espace. On ne traîne pas dans les chambres, en particulier l’hiver ou, en l’absence de chauffage, la température peut être glaciale. Chaque soir, à la mauvaise saison, de gros galets du Rhône choisis pour leur taille et forme ovoïde sont placés dans le four puis au moment du coucher, enveloppés dans une grosse chaussette, glissés au fond du lit qu’ils réchauffent.

    Nous avons vu que la porte de la maison donne directement sur la route nationale 86, dont elle n’est séparée que par un trottoir. En 1950 les autos sont encore rares et ne se sont pas encore approprié exclusivement les routes. La vie sociale était alors bien plus centrée sur le village, les habitants sortaient peu et la rue était le théâtre de toutes sortes d’activités. Ma mémoire en a retenue quelques une que je vous livre, un peu en vrac.

    Le marchand de peaux de lapin : la viande étant chère, la plupart des foyers, même dans ce village plus vraiment agricole,  disposait d’une basse cour avec des lapins et parfois des poules qui permettait d’améliorer l’ordinaire. Les clapiers de Jojo étaient installés au jardin, situé au bord de la rue parallèle à la RN86, qui porte aujourd’hui le nom charmant de passage du p’tit matin. Une fois le lapin destiné à finir en civet tué et dépouillé, la peau était soigneusement conservée car, régulièrement passait dans le village un personnage qui s’annonçait en criant « peaux de lapin !». Il rachetait pour quelques francs les peaux qui, après traitement deviendraient des parures pour les belles.

    Le rémouleur : installé sur le trottoir avec sa meule entraînée par un mécanisme similaire à celui des machine à coudre d’avant l’apparition de la fée électricité, il aiguise les couteaux et ciseaux des ménagères.

    La maison familiale de Saint Pierre de Bœuf (2) enfance d'après guerre

    Le vitrier : Portant sur son dos le verre brut, un pot de mastic et les quelques outils nécessaires à son ouvrage, il arpente les rue en criant « vitrier !». Les fenêtres étaient alors munies de verre simple, sans grande conséquence sur le coût du chauffage, puisqu’on ne chauffait guère les logis. La fragilité de ce matériau, combinée avec la turbulence des enfants provoquait de nombreux dégâts, et la chanson  « encore un carreau de cassé, v’la le vitrier qui passe… » était parmi les plus populaires. L’usage voulait que le carreau cassé soit remplacé par du carton, en attendant le passage du vitrier. Celui de la photo est parisien, mais il est en tout point semblable à celui qui remplaçait les carreaux cassés à saint pierre de Bœuf.

    La maison familiale de Saint Pierre de Bœuf (2) enfance d'après guerre

    La traction hippomobile : On voit aussi encore fréquemment des chevaux. Ceux des paysans bien sûr, mais aussi celui des éboueurs, le ramassage des ordures, ou plutôt des équevilles nom aujourd'hui oublié qui était alors en usage, se fait avec un simple tombereau. Il faut se souvenir que nous ne sommes pas encore dans l’époque des emballages perdus. La plupart des produits sont vendus en vrac, le lait, les pâtes  ou en emballage recyclé, le vin, l’eau minérale. Les déchets collectés par les éboueurs sont donc essentiellement organiques et leur volume plus que limité. Et tous ces chevaux marquent régulièrement leur passage par un tas de crottin sur la chaussée que les ménagères recueillent car c’est, parait-il, le meilleurs engrais possible pour les géraniums. Le cheval qui tracte le brinquebalant corbillard municipal n’échappe pas à cette règle lorsqu’il transporte depuis leur domicile vers l’église puis le cimetière les pétribociens trépassés. Le convoi des familiers éplorés doit être vigilant et faire un détour pour éviter de piétiner le crottin.

    Le cardeur : les matelas étaient faits de laine de mouton qui, au fil des années, se tassait, en altérant le confort. On appelait alors le cardeur qui dépeçait les matelas, en extrayant la laine pour la passer dans sa cardeuse, machine un peu effrayante au balancier munis de clous recourbés qui, en démêlant la laine lui donne du volume. Le matelas était ensuite reconstruit avec sa toile, ses bourrelets qui en font le tour et ses ficelles terminées par des boutons régulièrement espacés et reliant les deux flancs. Ce travail, dégageant beaucoup de poussière se faisait lui aussi dans la rue.

    La maison familiale de Saint Pierre de Bœuf (2) enfance d'après guerre

    C’est aussi cette route que nous empruntions pour nous rendre à l’école communale, située dans le même bâtiment que la mairie, face à l’église. Nos jeux pendant le trajet était insouciants et la cohabitation avec les voitures, dont le trafic croissait rapidement,  pas toujours pacifique. Nombreux étaient les chocs. Le rédacteur de ces lignes, pas plus que son frère Jean Paul n’ y échappèrent, avec pour conséquence quelques membres plâtrés.

    Sur la photo ci-dessous, la mairie est le batiment de gauche avec son double escalier. A sa gauche, l'entrée de l'école des filles, et à sa droite celle de l'école des garçons.

    La maison familiale de Saint Pierre de Bœuf (2) enfance d'après guerre

     

    En ces années d’après guerre, une bonne partie de la France, mal logée, aspire à de meilleures conditions de vie. Jojo et Fernande ne font pas exception. En effet, la maison de Saint Pierre de Bœuf, acceptable avec trois enfants, devient vraiment trop juste avec des adolescents. L’état fait des efforts et, par le biais du crédit foncier permet l’accession à la propriété aux ménages, même avec des revenus modestes. Fernande n’a pas de qualification. Plus jeune elle a bien travaillé dans un atelier de tissage, mais c’est en faisant des ménages qu’elle contribue aux finances de la famille. J’imagine que le projet de construction à Condrieu devait avoir un budget très serré. D’ailleurs seul le gros œuvre sera réalisé par une entreprise. Pour les finitions, carrelage, électricité, se sont des collègues de travail de Jojo qui sont sollicités. Mais l’inflation galopante des trente glorieuses favorise les endettés et le couple n’aura pas à regretter de s’être lancé dans la construction de la maison de Bassenon.

    Nous avons quitté Saint Pierre de Bœuf enfants, Condrieu sera plutôt le temps de l’adolescence.

     


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  • Après André et Michel Paret, Guy a découvert un nouveau meunier dans la famille : il s’agit de Floris, le fils de Michel (meunier aux Andrivaux), marié en 1721, mort à Maclas en 1743. Le moulin de Floris se  situe à Limonne, à 1Km des Andrivaux.

    Le froid ne vient pas à bout de notre curiosité, et nous partons marcher avec Guy (de Cour) à la recherche de ce moulin. Nous longeons en vain la rivière, aussi nous demandons de l’aide à un agriculteur. Il nous apprend que l’ancien propriétaire est mort dans les années 80,  et il s’appelait… Etienne Paret ! Notre interlocuteur nous invite à rencontrer ses parents au coin du feu : ils ont bien connu Etienne qui, bien que marié deux fois, n’a pas eu d’enfants. La dernière fois qu’ils ont vu le moulin, la roue à aubes était envahie par le lierre. La maison a été vendue à une pharmacienne de Maclas. Le fermier nous ramène en  voiture à Limonne, puis nous traversons une propriété privée, et nous voyons enfin ce fameux moulin, avec sa roue à aubes bien dégagée.

    du coté de Limonne

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le moulin n’est pas au bord de la rivière, l’eau était amenée par un bief (canal).

    du coté de Limonne

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    A l’heure actuelle, ce bief a été détourné pour éviter la maison, qui a été agréablement restaurée, et divisée en deux.

    du coté de Limonne

    Nous ne verrons malheureusement pas l’intérieur,  car les propriétaires sont absents.

     du coté de Limonne

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Dans le Maclaire, journal édité par la municipalité de Maclas, deux articles concernant ce moulin ont été publiés :

    http://www.maclas.fr/maclaire/pages/maclaire_n34.htm http://www.maclas.fr/maclaire/pages/maclaire_n38.htm

     

    La 1ère preuve de l’existence de ce moulin remonte à 1334. Les archives des nombreux procès permettent de retracer son histoire: il  devient la propriété de Fleury Paret en 1552. A peine installé, un procès lui est fait en 1556 au sujet d’un canal qu’il a construit.

    Des années plus tard, en 1731, un autre Fleury, ou Floris,  est en procès avec un certain  Plasson, propriétaire d’un moulin. Autre procès, en 1733 intenté par Frère François DE FOUCAULT DE BEAUREGARD, Chevalier de l'ordre de Saint Jean de Jérusalem, Grand Battif de Lyon, Commandeur la Sainte Epine, Commandeur de Saint-Georges ... qui demande le paiement de 29 années d'arrérages que le meunier n'a pas payées. Ce qui n’empêche pas notre Fleury de progresser puisqu’en 1734, il obtient le droit pour un an de presser et fabriquer de l’huile de noix et d’autres noyaux pour faire de l’huile.

    En 1735, il achète un moulin Plasson. Ce moulin a été emporté par une crue de la rivière. Floris meurt en 1743, mais l’histoire et les procès continuent : «   la femme de Paret »  (pas la femme de Floris, elle est morte en 1755)  se plaint, en 1764, d’une bousculade dans un ruisseau, et des plaintes sont déposées contre  les agriculteurs qui utilisent l’eau du bief ou du ruisseau pour irriguer leurs terres.

    En 1791, diverses fournitures (tuiles, chaux…) sont payées par « Paret fils » pour le moulin neuf.

    En 1826, une facture est payée par Etienne Paret, faiseur d’huile, certainement pour une roue en fer.

    Après 1920, le moulin n’est plus utilisé et est vendu à la ferraille.

    Après la 2ème guerre mondiale, le moulin est loué et remis en service pour la fabrication de sabots, manches, râteaux… Puis le propriétaire, Etienne Paret, reprend son moulin et le fait tourner épisodiquement pour fabriquer de la farine de seigle pour les animaux.

    Au décès d’Etienne, la bâtisse est vendue à des olibrius peu respectueux du patrimoine, puisqu’ une partie de la roue à aubes se retrouve dans la fosse septique, et qu’ils ne gardent pas les pièces du moulin. Ils balancent à la décharge toutes les archives, et, heureusement, un maclaire les récupère et les porte à M. Pierre Dumas, un historien bien connu de la région.  Puis, ces propriétaires peu respectueux, se débarrassent du bâtiment, et c’est la pharmacienne qui le rachète. Là, il est dans de bonnes mains : elle met en valeur la partie récupérable de la roue à aubes, et entreprend une restauration intelligente.  M. Dumas lui restitue les archives.

    Ces renseignements nous ont été donnés par la propriétaire, qui va nous recevoir une journée en juin et mettre à notre disposition les archives, et par M. Dumas qui a écrit plusieurs livres sur l’histoire du Pilat.

     

    Essayons de remonter le cours du temps et de faire le point sur les différents propriétaires. Nous savons que le dernier propriétaire est Etienne Paret,  alors c’est relativement facile de remonter la filiation, puis on arrive aux branches que Guy a descendu, tel un moderne Tarzan, dans la jungle des Paret. Ce qui nous donne :

     

    Floris Paret (1697-1743), meunier à Limonne

    Etienne Paret 1(1732-1796), Limonne, fils du précédent

    Etienne Paret  (né en 1759, marié en 1795), Limonne, fils du précédent

     

    Là, changement de branche :

     

    Etienne Paret  (1804-1872), c’est l’arrière petit fils d’Etienne Paret, frère de Floris. Ils descendent tous les deux d’Etienne Paret et de Jeanne Minodier.Il est né aux Andrivaux, mais est propriétaire à Limonne à son décès.

    Etienne, né en 1826, cultivateur meunier à Limonne, fils du précédent

    Louis, né en 1873, propriétaire à Limonne, fils du précédent

    Etienne (1907-1983) propriétaire à Limonne, fils du précédent .

     

    On a un petit lien de parenté avec le dernier Etienne.

     

    Si cette histoire vous a intéressé, la prochaine fois, vous aurez droit à celle du moulin des Andrivaux, qui nous a réservé quelques surprises !

     


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